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Vitesse au près , comparé à des dériveurs tradis 420, 470
C'est à mon avis seulement une question de performance relative de bateaux. En 700 sur un Open de France, tu es sur le bateau le plus rapide de la flotte ou presque, et tu vas te dégager rapidement. Sur une régate de skiffs, il y a beaucoup d'autres bateaux qui vont aussi vite ou plus vite, donc tu ne peux pas faire ce que tu veux.Cédric F wrote: Autant je suis plutôt dubitatif sur mes performance au près en flotte skiff autant je le suis beaucoup moins face à des dériveurs plus traditionnels (style 505, Fireball etc). Pourquoi ? En fait, j'ai l'impression que sur une flotte intersérie traditionnelle, j'accepte totalement l'idée que je ne vais pas avoir le même comportement au près, notamment en termes de cap. Et je l'accepte totalement ce qui est beaucoup moins vrai sur une flotte intersérie skiff.
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flebas wrote:
C'est à mon avis seulement une question de performance relative de bateaux. En 700 sur un Open de France, tu es sur le bateau le plus rapide de la flotte ou presque, et tu vas te dégager rapidement. Sur une régate de skiffs, il y a beaucoup d'autres bateaux qui vont aussi vite ou plus vite, donc tu ne peux pas faire ce que tu veux.Cédric F wrote: Autant je suis plutôt dubitatif sur mes performance au près en flotte skiff autant je le suis beaucoup moins face à des dériveurs plus traditionnels (style 505, Fireball etc). Pourquoi ? En fait, j'ai l'impression que sur une flotte intersérie traditionnelle, j'accepte totalement l'idée que je ne vais pas avoir le même comportement au près, notamment en termes de cap. Et je l'accepte totalement ce qui est beaucoup moins vrai sur une flotte intersérie skiff.
Oui et non car quand je faisais à l'Open de France, c'était surtout celui où j'ai couru avec les 505 et les Fireball et je ne parlais que du premier près où là tu joues vraiment avec eux avant de t'envoler au portant. Et vraiment dans ma tête sur ce type de course, je suis très libéré par rapport au près et à la différence de cap notamment.
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@ thierry III
- Ne pas hésiter à naviguer seul, et j'ajoute tout de même du coté de la flotte ! Pas trop de risque de désavantage en cas de bascule du vent. OK
- Différencier les conditions avec ou sans planning.
@ Deous
- Ne pas trop viser la marque et privilégier la vitesse dans l'esprit.
@ Cedric :
Je comprends parfaitement ce que tu ressens et exprime. Après tout nous sommes en mode chrono en IND, ce serait se tromper que de basculer en mode flotte.
- Bien synthétiser ses besoins pour trouver du vent frais avant tout, en plus de la stratégie avant et jusqu'au départ inclus.
- Travailler un Max sur les virements pour fluidifier vraiment un max la manœuvre et sa relance. (J'aime)
Il est clair qu'à notre petit niveau amateur, si déjà l’analyse du plan d'eau, du type de vent,de la ligne de départ, de la flotte est OK, alors celui qui améliore ses manœuvres hésitera moins à investir dans le suivi du vent ou même un repositionnement.
- Savoir naviguer pour soi.
@ Lardon : Développer la prise d'information plus que nous le faisons. Etre très observateurs et objectifs, sur nous mêmes et les autres. Tout à un sens OK
- Savoir passer en 1 seconde d'un mode vitesse en mode suivi du vent et inversement pour se dégager. (J'aime)
@ Alain : Je saisis bien ce que tu veux dire, OK Méa-Culpa, mais je dois me débrouiller pour faire avancer mon 500 !
D’après toutes les réponses lues, c'est le fait de se donner les moyens de naviguer avec une trajectoire plus abattue au près qu'il nous faut en skiff pour arriver devant à la marque 1. Facile à comprendre, mais un gros travail d'entrainement pour l'appliquer correctement chez nous.
Ce qui est certain , c'est qu'avec un sujet pareil, nous allons nous faire chambrer au Der ! (Pas grave, c'est le prix des infos et des réponses !) merci à tous.
"On ne perds jamais- Soit nous gagnons, soit nous apprenons ..." N.Mandela
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Ian 23 wrote: Perso j'ai eu l'impression de passer un cap, si je puis dire, l'an dernier en 800 en comprenant l'art de la "micro relance" qui au final sur le cap moyen fait gagner quelques degrés. Je m'étais auparavant tellement fixé sur la régulation à la GV pour rester à plat que j'en oubliais de gagner quelques degrés de plus (sans piper pour autant) dans les ados ou les surventes. Et au final sur une remontée, ça fait des mètres. Et ça fait moins mal au bras! Donc sur un skiff, capitaliser sur la puissance en hésitant pas à abattre mais capitaliser aussi sur cette puissance en n'hésitant pas à loffer. Ce qui rejoint l'idée que fondamentalement le skiff est un bateau de handling et le tradi un bateau de tuning, même si bien sûr il faut des deux.
Mais après je pense que les stratégies diffèrent énormément selon que tu sois en situation de surpuissance ou pas.
Sur ce point, au près donc, validez-vous cette théorie fumeuse? Les bateaux RS se régulent davantage à la barre qu'à l'écoute, les Ovington davantage à la l'écoute qu'à la barre. D'où d'ailleurs la présence des taquets sur les uns et pas sur les autres. C'est une question hein!
@ Ian23
C'est cool de lire quelle est ta perception contrôle de l’assiette versus suivi du vent.
A mon tour de tenter de répondre

Je ne suis pas certain qu'il y ait une méthode mais bien cette sensation ressentie "désolé" avec ton cul, via ta main de l'écoute et ta main du stick.
Chez nous quand tout est OK, l’équipier se cale sur un compromis hauteur de trap en fonction du vent ressenti ( le plus efficace possible, jusqu'à l’horizontale). A partir de là , il fait confiance à son barreur pour ne pas trop le mouiller ! Le bateau navigue sur ses penons de foc, la GV permet de trouver le bon compromis à la régulation et donc de garder le bateau le plus à plat possible à l'écoute. Dans ce mode si l'équipier gagne confiance ( ne fléchis pas les genoux au moindre saut de vent entre autre), le barreur peut être très précis sur l’assiette. Bras tendu dans le prolongement écoute ect...
Après ... La barre ...on dissocie. Moins on s'en sert, moins nous ralentissons. Tirer pour abattre tout en choquant dans la risée ( pas le choix) et quand la risée se termine , border et le simple fait de fermer la bôme fait lofer le nez du bateau assez pour sortir sur notre lancée de la risée avec suffisamment d'appui pour ne pas contre gîter.... etc.... Ça adonne aux pennons, tu suis , ça refuse.. tu confirmes et tu vires.
Je parle pour un simple trapèze, a adapter avec le double trap donc....
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Ian 23 wrote: au près donc, validez-vous cette théorie fumeuse? Les bateaux RS se régulent davantage à la barre qu'à l'écoute, les Ovington davantage à la l'écoute qu'à la barre. D'où d'ailleurs la présence des taquets sur les uns et pas sur les autres. C'est une question hein!
Oui, c'est une quetion tres interessante qui merite un sujet a part entière, mais j'ai peur que l'on touche la, un aspect commerciale des choses...
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- thierrylll
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Je me pose à peu prés les mêmes questions qu'Alex sur le même support et d'autant plus dans les vents faibles et variables du plan d'eau intérieur de cet hiver. En résumé en cherchant à planer au prés j'en arrive de plus en plus souvent à décrocher résultat ni cap ni vitesse. Avec un vent plus présent le bateau est plus ardent et l'abattée dans les surventes n’emmène plus vers le décrochage. C'est vrai que c'est assez déroutant par rapport à un voilier plus classique où je crains plutôt de planter des pieux. En résumé la conduite à la barre est assez différente d'un classique et nous devons particulièrement bien manœuvrer la descente pour trouver du vent frais au second tour quand le départ n'a pas été à la hauteur des espérances.
Par contre je confirme que le 500 plane absolument au prés et c'est ce qui en fait un bateau vraiment marrant, c'est juste qu'il n'est pas évident d'y arriver.
Eric RS500 n°563
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cadre wrote:
Ian 23 wrote: au près donc, validez-vous cette théorie fumeuse? Les bateaux RS se régulent davantage à la barre qu'à l'écoute, les Ovington davantage à la l'écoute qu'à la barre. D'où d'ailleurs la présence des taquets sur les uns et pas sur les autres. C'est une question hein!
Oui, c'est une quetion tres interessante qui merite un sujet a part entière, mais j'ai peur que l'on touche la, un aspect commerciale des choses...
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Non je crois qu'on peut en parler sans problème. C'est intéressant comme sujet et cela rentre parfaitement dans la thématique traitée ici de la vitesse au près.
Avant toute chose il faut clarifier les choses en se posant la question de savoir si cette impression n'est pas déjà dépendante du niveau des équipages. En 49er et en 49er on a déjà par exemple ce qui se fait de mieux comme équipage dans leur catégorie d'âge respective avec des équipiers qui ont systématiquement l'écoute de GV. En RS800 et en RS500 ce n'était pas le cas et les niveaux sont beaucoup plus bas. Maintenant que l'équipier peut prendre la GV en RS800, peut être verra-t-on des changements dans la conduite. J'en suis même persuadé pour tout dire. Au delà du niveau, il y a la question physique aussi, surtout quand le niveau est bas. Barrer et réguler demande quand même un certain engagement physique qu'on compense à la barre quand on ne l'a pas. Enfin, il y a les carènes. Et ce n'est pas faire injure à RS de dire que les carènes de ses bateaux sont moins extrêmes que les carènes Bethwaite par exemple. Cela est un choix fait par RS pour capter un public et un marché qui n'est pas celui des 9er.
Enfin, je pense qu'il y a des exceptions. Prenons le RS700. Dans l'idéal ce bateau devrait se "conduire" véritablement à l'écoute car le safran et le plan anti-dérive sont vraiment faibles. Du coup, la moindre correction à la barre est amplifiée et devient un frein. Le problème c'est que physiquement la régulation à l'écoute est super dure.
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- thierrylll
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Autre chose. Le bateau doit il toujours être à plat ou avoir un peu de gite pour augmenter l'effet anti dérive? A ce moment là quels repères avoir si on est concentré à fond sur les penons ( qui réagissent différemment en focntion de leur positionnement et donc donnent des infos différentes) pour garder l'assiette avec une réactivité ou anticipation importante.....
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C'est indépendant du type de bateau, sur tous les bateaux où c'est possible, la régulation à l'écoute est plus performante mais aussi plus physique que la régulation à la barre.Ian 23 wrote: Sur ce point, au près donc, validez-vous cette théorie fumeuse? Les bateaux RS se régulent davantage à la barre qu'à l'écoute, les Ovington davantage à la l'écoute qu'à la barre. D'où d'ailleurs la présence des taquets sur les uns et pas sur les autres. C'est une question hein!
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La surface de la dérive du RS700 (ou du RS600 ou du Musto Skiff, par exemple) est suffisante par rapport à la surface de voilure compte tenu de la vitesse du bateau. Le safran des RS600 et 700 est probablement un peu grand par rapport à la dérive. A mon avis, l'amplification de correction vient aussi de la barre très courte.Cédric F wrote: Prenons le RS700. Dans l'idéal ce bateau devrait se "conduire" véritablement à l'écoute car le safran et le plan anti-dérive sont vraiment faibles. Du coup, la moindre correction à la barre est amplifiée et devient un frein. Le problème c'est que physiquement la régulation à l'écoute est super dure.
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L'usage de la contre écoute sur le 420 est lié au positionnement très écarté des filoirs, imposé par les règles de classe. Je ne pense pas que ce soi bénéfique sur le 500, d'autant que ça a une incidence sur la forme du foc.thierrylll wrote: Pourquoi ne pas utiliser la contre écoute pour recentrer un peu le foc? (une question sans vraiment d'idée sur faisabilité ou intérêt réel).
La gite a une influence négative sur l'effet anti dérive. Pour caper il faut contre giter, mais c'est assez déroutant au niveau sensations.Autre chose. Le bateau doit il toujours être à plat ou avoir un peu de gite pour augmenter l'effet anti dérive? A ce moment là quels repères avoir si on est concentré à fond sur les penons ( qui réagissent différemment en focntion de leur positionnement et donc donnent des infos différentes) pour garder l'assiette avec une réactivité ou anticipation importante.....
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Suivre des penons bien réglés, jusque là ça va, ensuite sentir si la coque doit être à plat ou non, c'est une question de sensation:
- Au près, c'est le travail de la coque qui me guide, je sens de suite à la barre si le bateau coince ou pas, car il s'agît bien de cela. Le visuel m'aide aussi. En fait, j'ai souvent envie de tracer un repère au feutre sur la coque (mais ça ferait désordre).
Mes souvenirs de glisse en planche ou sur des skis ont beaucoup de similitudes et j'essaye de les mettre à profit.
À mon avis, c'est là que j'apprécie de naviguer en équipage avec la GV à mon collègue de travail, car nous sommes plus réactifs à 4 mains. Grâce à ma barre, j'essaye de guider oralement mon équipier pour garder plus de finesse et là comme à chaque fois le bateau démarre. Tout en conservant la vitesse, je pousse légèrement la barre de façon à ce que le bateau remonte, dès que je perds la vitesse, je dois abattre et mon collègue adapte sa GV pour garder. C'est la raison pour laquelle, j'aime bien naviguer avec des personnes n'ayant pas trop d'expérience des dériveurs classiques, ils se laissent guider et ils rechignent moins à choquer. De toute manière, le 49er, quand il n'est pas au planning, ça devient une brouette comme une planche qui pousse de l'eau avant de remettre les pieds dans les straps. Heureusement que quelques nœuds suffisent à notre bonheur, ce que ne peut pas connaître pas un 4000 ou un 500, sauf dans du vent plus fort.
Concernant la technique, j'essaye d'avoir un bateau bien réglé à terre.
En 49er, j'ai quasiment les mêmes réglages que les jeunes sur qui je pompe lors de nos régates à Sanguinet. Pour la hauteur du foc sur l'étai, j'utilise 3 réglages dont j'ai pu m'apercevoir au fil des confrontations avec les jeunes que les vitesse sont similaires, après les suivre c'est autre chose, surtout dans les manœuvres....
En 4000, je suis les règles du manuel. Mais c'est différent d'un 49er car je dois, pour l'instant, gérer la GV et il est très difficile de réguler en tenant la barre surtout que je ne mets que très rarement l'écoute au taquet, juste pour régler mon cunnigham et mon hâle-bas.
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1 - pouvoir reproduire le (bon) réglage d'une sortie à l'autre => marquer les réglages dynamiques (ecoutes, assiette) et statiques (quête; barbers, hale-bas, haubans) + copier les réglages des meilleurs.
2 - utiliser des voiles & gréement de qualité : pas la peine de chercher à avancer avec des voiles rincées et/ou mal coupées.
3 - naviguer, naviguer, naviguer pour bien intégrer les sensations de vitesse. Aucune lecture ni théorie ne peut remplacer ce point.
4 - prendre un bon départ.
sinon, c'est cuit pour la suite, meme en maitrisant (1), (2) et (3)
______________________________________________
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Vous avez des images de votre bateau ou on voit les voiles et les chutes?
On parle de 15 nœuds au près donc une piste : affiner un peu le profil de la GV (barres de flèches, bas-haubans, cunningham)...
Quel réglage pour le foc sinon?
Autre idée : la tenue au trapèze et l'attitude dynamique de l'équipière. (En 470 ils pompent comme des dingues par exemple.)
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Eric justement tu l'as bien vu quand on a navigué ensemble : tu étais clairement trop abattu et donc le VMG n'était pas bon. Au final si tu comparais avec le Finn par exemple tu vois bien que tu ne sauvais pas du tout ton rating (remarque le Finniste n'est pas mauvais du tout).AQUABON2 wrote: Bonjour à tous et à toi Alexandre
Je me pose à peu prés les mêmes questions qu'Alex sur le même support et d'autant plus dans les vents faibles et variables du plan d'eau intérieur de cet hiver. En résumé en cherchant à planer au prés j'en arrive de plus en plus souvent à décrocher résultat ni cap ni vitesse. Avec un vent plus présent le bateau est plus ardent et l'abattée dans les surventes n’emmène plus vers le décrochage. C'est vrai que c'est assez déroutant par rapport à un voilier plus classique où je crains plutôt de planter des pieux. En résumé la conduite à la barre est assez différente d'un classique et nous devons particulièrement bien manœuvrer la descente pour trouver du vent frais au second tour quand le départ n'a pas été à la hauteur des espérances.
Par contre je confirme que le 500 plane absolument au prés et c'est ce qui en fait un bateau vraiment marrant, c'est juste qu'il n'est pas évident d'y arriver.
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A titre d'exemple, pour avoir fait la comparaison Finn/RS700 ce jour la on avait sensiblement le même cap.
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thierrylll wrote: une ou deux remarques. un grand merci à gilles de nous rappeler les différents repères à surveiller dans une régate en flotte. Mais cela reste des généralités. Tout nos bateaux sont différents avec des conduites différentes à la barre ou à l'écoute. Alain parlait du réglage du foc par exemple, avec des histoires de hauteur d'amure, de tension de chutes.... mais ce type de réglage très sensible sur un B14 aura-t-il la même influence sur le 500? Pourquoi ne pas utiliser la contre écoute pour recentrer un peu le foc? (une question sans vraiment d'idée sur faisabilité ou intérêt réel).
Autre chose. Le bateau doit il toujours être à plat ou avoir un peu de gite pour augmenter l'effet anti dérive? A ce moment là quels repères avoir si on est concentré à fond sur les penons ( qui réagissent différemment en focntion de leur positionnement et donc donnent des infos différentes) pour garder l'assiette avec une réactivité ou anticipation importante.....
Le réglage de hauteur de foc est très important en 500. Ceux qui connaissent bien ce bateau savent que c'est même un des settings très important pour optimiser l'écoulement des filets d'air. Le dessous des BDF peuvent se cranter avec les repères d'ouverture de chute selon les conditions de vent. L'angle du point de tir de l’écoute de foc peut changer ainsi de environ 25°. Le point d'écoute est fixe en revanche.
La contre écoute peut aider à rentrer un peu le point d'écoute, mais a vrai dire le bateau n'est pas fait pour cela. Faible rendement comparé à l'avantage de le laisser "respirer".
La meilleur vitesse, nous l'avons en veillant à un bon accord réglage Foc /GV au prés. => Foc jamais sur-bordé, pas de renvoi dans rond guidant GV. La GV peut être ouverte et fermée avec de l'amplitude donc faut bien que cela respire dans la cheminée !
Nous sentons tout de suite dès les premiers bords si le bateau n'est pas équilibré sur le 500. Au près, foc et GV bien réglés, tu peux lâcher la barre ou juste la tenir avec les orteils çà suffit pour aller droit

Après pour l'assiette, notre repère ce sont les projections d'eau qui montent haut et des deux cotés symétriquement. L'équipier avance de 10cm vers avant pour favoriser l'accélération, puis se recule quand la coque fais "gicler" ( généralement le barreur en prends plein la poire quand ça plane au prés). Très difficile de conserver longtemps le bateau dans cet état second ! mais putain que c'est bon

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Concrètement cela veut dire quoi ?
. petit temps on monte le foc ?
. gros temps on le baisse ?
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